Une promenade au zoo [Terminé] [Suite au centre ville]

Katsuki détestait les animaux en cage, pour lui les animaux existent pour être libre pas en cage et exposé à la vue des passants.
C'est en pensant à toutes ces choses qu'il déambulait dans les avenues du zoo bousculant sans ménagement les gamins qui se trouvait sur son chemin, lesdits gamins qui allaient ensuite pleurer dans les jupes de leurs en se plaignant du grand méchant garçon à cause duquel ils ont perdu leurs glaces. Poursuivi par une mère particulièrement rancunière, Katsuki se réfugia près des crocodiles auquel il se mis à parler:

"Oh cher saurien, animaux dignes de toutes les louanges, vous vous êtes libres oh oui, libres de pouvoir manger quiconque vous importune sans être inquiété alors que moi si jamais j'osais lever la main sur la dame qui me poursuit, je me ferais arrêter mais, toute réflexion faite, je crois que ça en vaut la peine, en fait si je la mangeais ça vaudrais peut-être le coup de me faire arrêter, la viande humaine doit avoir si bon goût"

Au fur et à mesure qu'il parlait un sourire sadique s'étendait sur son visage et la mère qui le poursuivait pris peur, partis en précipitation avec son fils en jurant de ne plus jamais remettre les pieds dans ce zoo.

Satisfait de la façon dont il s'était débarrassait de sa poursuivante, Katsuki ne fit pas attention et bouscula au passage quel qu'un d'un peu plus grand qu'un simple enfant, en fait, quelqu'un du campus.

Tally avait prévue depuis une semaine d’aller dans ce nouveau zoo. Elle avait demandé à tout le monde qu’elle connaissait s’ils voulaient l’accompagner mais personne ne voulait aller dans ce zoo pour le moment. Tally un peu déçue respecta leur décision mais n’avait pas abandonné son projet d’aller ce promené voir tout les animaux possible et imaginable du monde entier.
Le matin lorsqu’il devait être 7h30 Tally ce leva et ce prépara. Elle passa un peu de temps dans sa douche à cause de sa longue chevelure blonde. Elle sortie et ce coiffa. Encore une dure épreuve que Tally passait tout les matins. Elle s’habilla et mis de l’argent dans son doudou fétiche. Elle fit un gros câlin à pantoufle qui râla un peu de l’avoir réveiller. Celui-ci après le câlin réclama a manger. Tally soupira. Décidément ce chat était exceptionnel. Tantôt agité tantôt paresseux. Elle lui donna a manger et partit. Elle ferma la porte après un regard amusé à son chat.
Elle traversa tous les couloirs sur son chemin et arriva vite dans la cour du campus. Tally ne ce perdait plus depuis longtemps et était fière d’elle. Elle passa la grande entrée ou dans son cas la grande sortie et ce précipita dans la ville. Elle ne ce perdait plus non plus dans la ville. Tally c’était vraiment bien habituer à son environnement et elle c’était faite beaucoup plus d’amis qu’elle ne l’aurait imaginé en si peu de temps.
Enfin elle arriva devant le zoo. Il n’y avait pas encore beaucoup de queue vu l’heure. Elle ce mise a la suite et sortie son argent. Et en quelque seconde elle ce retrouva devant le guichet. Elle paya sa place et entra dans le zoo. Elle s’arrêta pour regarder tout autour d’elle. Le zoo était grand et agréable d’y être.
Elle regardait tous les animaux longtemps. Elle étudiait leur mode de vie même si dans une cage leur mode de vie changeait. Mais les cages était plutôt grande ce qui permettait aux animaux de vivre mieux. C’était très intéressent d’observer ces êtres si fascinant. Ce n’était pas pour rien que la jeune fille voulait devenir vétérinaire. Elle adorait les animaux et les chérissait.
Lorsqu’elle arriva au crocodile un homme étrange parlait aux reptiles. Il était grand et avait des cheveux bleu qui allait jusqu’au épaule du jeune homme voir un peu plus haut. Et ce qu’il dit fit froid dans le dos de la jeune fille.

"Oh cher saurien, animaux dignes de toutes les louanges, vous vous êtes libres oh oui, libres de pouvoir manger quiconque vous importune sans être inquiété alors que moi si jamais j'osais lever la main sur la dame qui me poursuit, je me ferais arrêter mais, toute réflexion faite, je crois que ça en vaut la peine, en fait si je la mangeais ça vaudrais peut-être le coup de me faire arrêter, la viande humaine doit avoir si bon goût"

A ses mots une dame et son enfant s’enfuirent et jurèrent de ne plus jamais revenir au zoo. Tally tourna la tête vivement vers cet étranger cannibale. A cause de lui deux personnes ne viendraient plus regarder les animaux et en plus ils risquaient de dire du mal du zoo à leurs amies. Tally voulu apprendre a cet homme les bonnes manières. Alors elle s’approcha de lui un peu énervé en ne remarqua même pas que celui-ci lui avait foncé dessus et elle tomba en arrière. Un peu surprise elle ne ce releva pas tout de suite.

*De mieux en mieux* pensa-t-elle.

Elle ce releva vivement essuya sa jupe pleine de poussière et regarda le jeune homme furieuse. La couleur de ses cheveux allait bien avec la couleur de ses yeux gris. Cela donnait un genre au jeune homme. Mais elle ne devait pas perdre de vue qu’elle devait remettre en place cet homme pour avoir fait peur a des gens et de leur avoir ôter le plaisir de regarder les animaux. La jeune fille ce prépara alors à parler.

-Bonjour. Je m’appelle Tally Hochizuka.

Ce n’était pas parce qu’elle était énervé qu’elle ne devait pas être polie aussi elle devait ce présenté à son interlocuteur.

Katsuki sentit un choc et regarda devant lui, il venait de faire tomber une fille du campus, Tally Hochi... ou un truc comme ça vraiment imprononçable. Elle avait un visage enfantin qui lui donnait un petit air mignon qui avec se grands yeux et ses cheveux blond lui donnait un air plutôt niais et rendait ridicule son énervement presque palpable. Et, comble du méprisable, elle avait un chat domestique. Katsuki détestait les chats qui s'attachait à un maître, ils étaient ingrats et perdaient leur sadisme naturel. Et il considérait que quiconque possédait un chat était un(e) imbécile. Et en plus de ça, Katsuki eut l'impression qu'elle lui en voulait.

*Pourquoi?*se demanda-t-il.

"Bonjour je m'appelle Tally Hochizuka"

La fille lui avait parlé, alors qu'elle paraissait lui en vouloir, Katsuki n'avait jamais compris ses semblables et ça ne risquait pas de commencer maintenant, au vu de la réaction du présent spécimen. Toutefois d'après un ouvrage sur la bonne conduite qu'il avait lu un jour, quand quelqu'un se présente il faut lui répondre, et Katsuki ne voulait pas se faire d'ennemi. Du moins, pour le moment.

"Je m'appelle Katsuki Kaze, enchanté de faire ta connaissance" dit-il avec son plus grand, et faux, sourire.

"Je m'appelle Katsuki Kaze, enchanté de faire ta connaissance"

Tally ne fit pas attention a son sourire ou elle décela une pointe de j’men foutiste et de non compréhension de ce qui ce passais était écrit en gros sur son visage. La jeune fille était très remonté contre lui et on dirait que le jeune homme s’en moquais complètement ce qui avait le dont d’énerver la jeune fille. Tout d’abord il embête des personnes et ensuite ne semble pas comprendre pourquoi quelqu’un venait lui faire des reproches. Tally était regonflé à bloc. Elle prit une grande inspiration et d’une voix qu’elle tentait d’apaiser pour ne pas crier elle lui parla.

-Pourquoi tu fais ça ? Ce n’est pas marrent d’embêter les gens. Pourquoi veux-tu te faire des ennemis. Essaie d’être gentil. Ses pauvres gens que tu as effrayé ils ne viendront plus jamais au zoo par ta faute tu es fière ? A cause de toi un petit enfant ne pourra plus rêver en regardant les animaux du monde entier qu’on ne peut voir qu’ici.

Malgré qu’elle ne veuille pas crier, la jeune fille ne réussit pas régler le volume sonore de sa voix. Aussi elle est montée en puissance crescendo et hurlait presque à la fin de son discours. Elle devait surement être rouge car elle avait très chaud. S’énerver lui arrivait peu souvent car les gens étaient gentils à Fukasaku. Mais lui était un spécimen qu’elle n’appréciait absolument pas. Son air de je m’en fou de tout le monde sauf de moi et je m’aime et tant pis pour vous. Son chat a côté d’elle crachait sur cet horrible individu. S’il n’avait pas été aussi bien élevé il aurait sauté sur cet homme pour lui donné une bonne leçon mais la bagarre ne résolvait jamais rien et Pantoufle l’avait bien compris.

Katsuki s'attendait à une amélioration positive dans le comportement de la jeune fille, mais au contraire elle semblait s'énerver.

"Pourquoi tu fais ça ? Ce n’est pas marrant d’embêter les gens. Pourquoi veux-tu te faire des ennemis. Essaie d’être gentil. Ses pauvres gens que tu as effrayé ils ne viendront plus jamais au zoo par ta faute tu es fière ? A cause de toi un petit enfant ne pourra plus rêver en regardant les animaux du monde entier qu’on ne peut voir qu’ici."

Pendant qu'elle parlait le volume de sa voix augmentait comme une radio dont on tourne le bouton, cet comparaison le fit sourire. Mais Tally hurlait maintenant et était devenu aussi rouge qu'une tomate et son chat crachait tout en se retenant de lui sauter dessus. Katsuki aurait préféré que le chat l'ai attaqué car il aurait eu une raison valable de lui ouvrir le ventre. Cet pensée lui arracha un sourire sadique qui dévoilait ses dents pointues. Toutefois Katsuki comprit qu'il ne servait à rien d'intimider l'impertinente qui lui faisait face et essaya de la raisonner:

"L'Homme est un animal, au même titre que ce chat, juste nous autres humains sommes un peu plus intelligent. Mais en aucun cas notre intelligence supérieur nous donne le droit d'emprisonner des animaux pour notre bon plaisir. Les sauriens qui sont juste là vivent normalement à l'état sauvage, libre, et pas dans un tout petit enclos à la merci du regard des visiteurs. Les zoos sont des prisons, et pour te répondre, oui, je suis fier de faire partir les gens des zoos car ainsi ils feront faillites et ne kidnapperont plus d'animaux dans le seul but de se faire de l'argent. Alors si tu aimes les animaux autant que l'on pourrait le croire en te voyant, ne fréquente plus les zoos."

Katsuki avait parlé du ton impassible qu'il a l'habitude d'utiliser, sans pour autant trop croire que son interlocutrice n'approuverai ses paroles.

"L'Homme est un animal, au même titre que ce chat, juste nous autres humains sommes un peu plus intelligent. Mais en aucun cas notre intelligence supérieure nous donne le droit d'emprisonner des animaux pour notre bon plaisir. Les sauriens qui sont juste là vivent normalement à l'état sauvage, libre, et pas dans un tout petit enclos à la merci du regard des visiteurs. Les zoos sont des prisons, et pour te répondre, oui, je suis fier de faire partir les gens des zoos car ainsi ils feront faillites et ne kidnapperont plus d'animaux dans le seul but de se faire de l'argent. Alors si tu aimes les animaux autant que l'on pourrait le croire en te voyant, ne fréquente plus les zoos."

Tally en avait plus que marre de ces sois disant écologistes qui pensent que les zoos c’est mal. Elle secoua la tête navré de voir que les gens peuvent être d’une cruauté mais en plus d’une stupidité sans fond. Il ne connaissait rien des animaux. Dans ce lieu ils sont nourrie, loger, soigner, et ont des jouets pour s’amuser. Les gens parlent sans savoir ce que les autres pensent vraiment et Tally détestait ce genre de personne. Et cette personne semblait ce croire tout permis. Une envie furieuse de le frapper la prit mais ce retient de le faire. Tally n’avait jamais frappé personne. Et d’une voix crispée elle reprit son engueulade.

-Tu te crois tout permis ou quoi ? Tu ne sais rien de ce que pensent ses animaux. Ici ils sont traités avec respect et nourrie. Et il n’y a aucun bandit pour les abattre ou de prédateurs. Les enclos sont grand ils sont donc plutôt libre. Tu savais qu’un serpent ce sentait mieux dans une toute petite boite ! Oui Parce qu’il est en sécurité ! Tu le savais pas sa hein ! Tu parle sans connaitre sans savoir ce qu’eux pensent.

En disant cela elle désigna les animaux présents dans l’enclos le plus proche. Tally ce décrispa et tenta de ce calmer. Cette personne l’exaspérait. Et puis pourquoi elle lui parlait encore ce genre de personne n’écoute qu’eux même. Tally poussa un long soupir et s’apprêta a partir quand la personne nommé Katsuki parla.

Katsuki espéra convaincre son interlocutrice mais, il se rendit vite compte qu'elle était le parfait stéréotype des gens qui ne veulent jamais avoir tord. Et la réponse de la jeune fille qui lui faisait face lui donna raison:

"Tu te crois tout permis ou quoi ? Tu ne sais rien de ce que pensent ses animaux. Ici ils sont traités avec respect et nourrie. Et il n’y a aucun bandit pour les abattre ou de prédateurs. Les enclos sont grand ils sont donc plutôt libre. Tu savais qu’un serpent ce sentait mieux dans une toute petite boite ! Oui Parce qu’il est en sécurité ! Tu le savais pas sa hein ! Tu parle sans connaitre sans savoir ce qu’eux pensent."

Elle poussa un long soupir et Katsuki décida d'essayer une dernière fois de la raisonner:

"Connais tu l'empathie? Se mettre à la place des autres? Non, ça ne te viendrait même pas à l'esprit de te demander si tu supporterais de vivre dans une cage où tout le monde peut voir ce que tu fais tout le temps. Quand tu prends ta douche, un dizaine de personnes te regardent, pareil quand tu manges quand tu dors. Si tu veux tester le Kamasutra avec ton petit ami, il y aura une vingtaine de personnes pour regarder, as-tu seulement pensé à ce que serai la vie comme ça?"

Katsuki se sentait dans son élément, l'argumentation face à quelqu'un qui a un point de vue tout à fais opposé sur le sujet débattu. Il aimait la difficulé.

"Et comment peux tu oser dire qu'ils sont libre. Ils ont nourris, soignés mais prisonniers. Et voilà un exemple:
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor."

Katsuki avait toujours eu de l'admiration pour les fables de la Fontaine et celle-ci était sa préférée.

"Ainsi, si tu as compris cette fable, tu verrais comment vive les animaux ici, et je ne connais pas encore ton opinion sur la question mais la mienne est déjà faite: Je préfère mourir que de perdre ma liberté."

"Connais-tu l'empathie? Se mettre à la place des autres? Non, ça ne te viendrait même pas à l'esprit de te demander si tu supporterais de vivre dans une cage où tout le monde peut voir ce que tu fais tout le temps. Quand tu prends ta douche, un dizaine de personnes te regardent, pareil quand tu manges quand tu dors. Si tu veux tester le Kamasutra avec ton petit ami, il y aura une vingtaine de personnes pour regarder, as-tu seulement pensé à ce que serai la vie comme ça?"

Décidément il était vraiment buté et exaspérant. Les animaux n’ont aucune notion de la pudeur il ce foutent royalement de ce qui ce passe autour tant qu’ils peuvent faire leurs vie et de toute façon des abris sont mis a leurs dispositions. Tally s’offusqua en entendant les paroles perverses de ce jeune homme. Tally n’avait jamais eu de copain et encore moins n’avait eu l’idée de coucher avec un garçon. La jeune fille secoua la tête vraiment très agacé. Elle voulu parler a nouveau mais le jeune garçon reprit la parole sans lui laisser le temps de parler.

"Et comment peux tu oser dire qu'ils sont libre. Ils ont nourris, soignés mais prisonniers. Et voilà un exemple:
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? Rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor."

Super un poème en guise d’argumentation pensa-t-elle. De jean de la fontaine en plus. Jean de la Fontaine, la personne qui décrit le comportement HUMAIN par le biais des animaux. C’était de pire en pire… Mais en plus il décida de continuer encore à parler. Comme s’il ne l’avait pas encore déjà assez fait.

"Ainsi, si tu as compris cette fable, tu verrais comment vive les animaux ici, et je ne connais pas encore ton opinion sur la question mais la mienne est déjà faite: Je préfère mourir que de perdre ma liberté."

Lui-même ne l’avait pas compris cette fable… La Fontaine était le maitre pour critiquer sa société sans subir la censure et pour cela il rendait animal les humains. Ici il parle du rôle des hommes auprès du roi. Tally ne l’avait pas étudié en profondeur ce textes et ne pouvait donc pas trop s’avancé et décida de passer a sa question. La Liberté. Mais la liberté sa n’existe pas. Nous ne somme pas libre de nous même. Ou plutôt de notre conscience.

-Le liberté ça n’existe pas.

-La liberté, ça n'existe pas.

Katuki se rendit compte que son interlocutrice n'était pas aussi stupide qu'elle en avait l'air. Elle était une simple d'esprit aux idées préconçues, ce qui était moins grave car pardonnable, on naît simple d'esprit, on ne le devient pas. Katsuki rigola intérieurement de cet blague, puis ce fit remarquer que c'était la première depuis bien longtemps et que, par conséquent, il devait avoir un petit problème.
Mais, pour le moment, l'important était de tailler en rondelles la dernière stupidité sortie de la bouche d'une personne même pas foutu d'argumenter sur son affirmation. Ce genre de personne avait le don d'exaspérer Katsuki au plus haut point.

"Mais ma chère, la liberté existe, et comme tous ce qui existe, elle a des limites. Ma liberté s'arrête quand elle empiète sur celle d'autrui. Je suis libre de pense et de dire ce que je veux. Je ne suis pas bâillonné et je maîtrise mon destin, je peux partir si je le veux. A monis que tu n'es des arguments pour étayer tes affirmations évite de proférer des âneries à haute voix."

Un nombre de plus en plus importants de personnes c'était désintéressé des animaux et observaient maintenant la joute verbale que menais les deux adolescents. Katsuki jeta un regard circulaire et son for intérieur paranoïaque lui murmura de partir car si il venait à être attaqué la fuite ne serait que très difficile. Mais pour le moment, rien ne comptait plus pour lui que de clouer le bec à cet jeune fille impertinente. Il rapprocha tout de même la main de son couteau pour être prêt à parer une éventuelle attaque.

"Mais ma chère, la liberté existe, et comme tous ce qui existe, elle a des limites. Ma liberté s'arrête quand elle empiète sur celle d'autrui. Je suis libre de pense et de dire ce que je veux. Je ne suis pas bâillonné et je maîtrise mon destin, je peux partir si je le veux. A moins que tu n'es des arguments pour étayer tes affirmations évite de proférer des âneries à haute voix."

Même énerver elle pouvait voir que son interlocuteur ne plaisait pas au milieu de cette foule de plus en plus grandissante comme si les deux jeunes n’était que des animaux de foires. Mais la jeune fille était piquée au vif.
*tu veux des arguments hein bha tu va en avoir !!*

Ce jeune homme ne plaisait vraiment pas à la jeune fille. Cet air arrogant comme s’il savait tout et sur tout le monde. Ce genre de personne exaspérait la jeune fille au plus haut point.

-La liberté n’existe pas je le redis. Tu n’es pas libre de ton destin et de tes désirs ainsi que de ta nature. Tu es obligé de manger si tu ne mange pas tu meurs. Tu n’es pas libre. Si tu ne bois pas tu meurs aussi. Tu n’es toujours pas libre. Même tes pensées ne sont pas de toi. Elle vienne de ton inconscient et ton inconscient a été créer a partir de ton éducation et de ta façon de vivre, de ce qu’il y avait autour de toi. Elle ne vienne certainement pas de toi. Mais c’est comme sa pour tout le monde il n’y a pas a en avoir honte surtout que la plupart des personnes ne le savent même pas.

La jeune fille commençait à voir le même gène que son interlocuteur puisque la foule semblait maintenant s’étendre a perte de vue. Elle tourna sur elle-même pour voir l’étendue de la foule. La jeune fille avait pu s’empêcher de les voir jusque la mais il était tellement nombreux que le ronron incessant qu’il faisait empêchait toute discussion. La jeune fille timide n’aimait pas parler devant tant de monde. Elle ce remit face a son interlocuteur en espérant pouvoir oublier tout ce monde mais le rouge lui montait vicieusement aux joues et s’étendait sur tout son visage. Ses jambes tremblait tellement que la jeune fille ce demandait comment elle pouvait encore rester debout. Les larmes lui montait aux yeux mais elle réussit à les contenir tant bien que mal. La jeune fille serra son doudou fétiche en quête de réconfort en espérant ce caché un peu de cette foule et supplia du regard son interlocuteur de changer d’endroit pour discuter en paix. La jeune fille ne tiendrait pas très longtemps dans cette foule toujours grandissante…

"La liberté n’existe pas je le redis. Tu n’es pas libre de ton destin et de tes désirs ainsi que de ta nature. Tu es obligé de manger si tu ne mange pas tu meurs. Tu n’es pas libre. Si tu ne bois pas tu meurs aussi. Tu n’es toujours pas libre. Même tes pensées ne sont pas de toi. Elle vienne de ton inconscient et ton inconscient a été créer a partir de ton éducation et de ta façon de vivre, de ce qu’il y avait autour de toi. Elle ne vienne certainement pas de toi. Mais c’est comme sa pour tout le monde il n’y a pas a en avoir honte surtout que la plupart des personnes ne le savent même pas."

Les arguments de l'interlocutrice de Katsuki avait du vrai mais d'autre éléments rentrait en ligne de compte, des éléments qu'elle avait omis, volontairement ou involontairement...

Mais cette simple joute verbale était passé au second plan des soucis les plus importants de Katsuki, la foule qui grouillait autour d'eux, comme un essaim d'abeille, devenait de plus en plus oppressante, n'importe qui pouvait, à n'importe quel moment, poignarder Katsuki.
Un homme d'âge mur s'approcha si près de Katsuki qu'il pouvait entendre, malgré le brouhaha incessant, le bruit de sa respiration.
Katsuki sentit la main de cet homme près de son flanc droit. Par réflexe, ou par instinct de survie, conséquence logique de sa paranoïa, Katsuki attrapa le poignet de l'homme, le fit pivoter et, dans un craquement sinistre, le brisa.
Il continua son mouvement pour le transformer en une clé de bras tandis que l'homme, à terre, hurlait de douleur, tout en suppliant Katsuki de le laisser partir. La foule, masse immense à la conscience rudimentaire, eut un mouvement de recul et de dégoût face à la scène qui se jouait. Mais, c'est quand Katsuki accentua son mouvement et que l'épaule de l'homme commença à se déboiter, que la foule prit vraiment conscience de la scène qui se jouait. Et le regard sadique de Katsuki qui prenait un plaisir fou dans la souffrance de sa pauvre victime sans défense acheva de les convaincre que rester agglomérer là n'était pas la meilleur des choses à faire.
L'homme tourna ses yeux emplis de larme vers le visage de Katsuki comme dans une ultime supplication, tandis que la masse humaine se dispersait vers d'autre secteurs du zoo.

Alors que la jeune fille s’inquiétait de tout ce qu’il y avait autour d’eux elle ne remarqua pas que son interlocuteur ce sentait vraiment mal. Un homme quelque peu étrange voulu s’approcher de Katsuki et comme si cela était normal, attrapa le poignet de l'homme, le fit pivoter et, le brisa ce qui fit un craquement douloureux.
Il continua son mouvement pour le transformer en une clé de bras tandis que l'homme, à terre, hurlait de douleur, et suppliait son agresseur de le laisser partir. La jeune fille ne pouvait pas bouger les larmes lui montèrent aux yeux très rapidement. Elle n’avait qu’une envie c’est venir en aide au pauvre blessé mais elle ne pouvait pas bouger. Elle tremblait de partout comme une feuille qui ce faisait emporter par une rafale de vent.

Comme si cela n’était pas suffisant, Katsuki continua son mouvement de poignet pour déboiter l’épaule du malheureux qui avait osé s’approcher d’un peu trop prés Katsuki… Le dégout qu’elle éprouvait pour cet homme du moins cette chose à l’apparence humaine était sans fond. Pourquoi faisait-il sa. Lui crier dessus et à la limite lui mettre un grand coup de poing auraient largement suffit mais non môssieur avait décidé de déboiter l’épaule de cet homme. La colère montait de plus en plus chez la jeune fille mais son dégout avait raison d’elle et s’écroula sur le sol ses jambes ne pouvant plus la retenir.

Dans un bruit sourd, la jeune fille aux cheveux rose, avec qui Katsuki débattait quelques instant auparavant, c'était effondré.

"T'as de la chance, je suis de bonne humeur, en temps normal, je t'aurais tué~♥"
Susurra Katsuki à l'oreille du pauvre innocent avant de lui asséner un violent coup sur la nuque qui l'assomma.

Puis, Katsuki s'élança au côté de la jeune fille pour ,finalement , constater son évanouissement. Les quelques gardes chargés de la sécurité du zoo furent alerter par les passants terrorisés et se rendirent sur les lieux.
Constatant se mouvement face auquel il n e pouvait rien faire, Katsuki songea à s'enfuir. Mais la jeune fille étendue au sol risquait , dans le meilleur des cas, d'être impliquée dans les évènements, ou , dans le pire des cas, de dénoncer Katsuki à la police et de leur donner sa description.
Katsuki opta alors pour l'option qui lui semblait la plus judicieuse:
Il prit la jeune évanouie sur son dos, et courut avec elle jusqu'à la clôture, poursuivi par le chat qui semblait assez indécis quand à la position à adopter face aux déplacement de sa maîtresse.

Arrivé au pied du mur, ladite maîtresse ouvrit les yeux...

Dans un grand champ de fleur, les cheveux dans le vent illuminés par les rayons du soleil caressant agréablement son visage, la jeune fille faisait du cheval. Son cheval était plutôt grand de couleur noir comme la nuit. Sa crinière flottait aussi dans le vent et la vitesse à laquelle allait cette majestueuse bête était extraordinaire. Tally était allongé sur l’encolure d’Iris et ce laissait bercé par ces vas et viens régulier.

Puis la jeune fille ce releva d’un coup, elle était il y a quelque minute au zoo et la elle ce retrouvait dans une grande plaine remplie de fleur sur un cheval. Ce n’était pas logique, elle ne ce souvenait pas de comment elle était arrivé la. La jeune fille secoua la tête et ce retrouva sur le dos d’un inconnue qui était en train de courir vers la barrière. La jeune fille paniqua, failli tomber puis reconnue son interlocuteur d’il y avait quelque minutes. Tally ne savait pas trop si elle pouvait parler ou non. Et la jeune fille n’avait toujours aucun souvenir de comment elle était arrivé la.

La jeune fille ce décida quand même a lui adresser la parole au moins pour savoir ou ils allaient et pourquoi il y avait quelque instant elle était dans le zoo et que la elle ce retrouver sur son dos.

-Qu’est ce qui c’est passé ? Et ou court tu comme sa ?

Tally regarda autour d’elle repensant à son chat qui devait être apeuré. Elle le vit courir après Katsuki pour suivre sa maitresse. Tally était soulagé son chat n’avait rien.

-Qu’est ce qui c’est passé ? Et ou court tu comme sa ?
Elle a le droit de se poser des questions... Mais je ne peux pas lui répondre....

Katsuki observa au loin les pompiers s'occuper de l'homme blessé, certes les gardes avait abandonné la poursuite, mais Katsuki ne ressemblait pas à Monsieur Tout-le-monde et il devait avoir sa description, il leur suffisait de vérifier les sorties pour l'attraper.
Cependant, le mur ne faisait que deux mètres de haut et pouvait être facilement escaladé...
Katsuki posa la jeune fille au sol, puis il s'aggripa au haut du mur et se hissa en haut du mur. Il tendit la main la jeune fille en contrebas:

"Tu viens, je t'expliquerais après..."

Le jeune homme qui portait la jeune fille s’arrêta devant un mur. Il posa Tally et regarda l’obstacle. On aurait dis qu’il voulait l’escalader tel un voleur en train de ce faire courser. Et si c’était sa ? Et s’il était réellement en cavale et qu’il avait embarqué l’étudiante dans son histoire. Tally prit peur et sera son doudou fétiche dans ses bras. Elle prit aussi son chat sur son épaule. De cette manière elle ce sentait moins vulnérable. Enfin son agresseur bougea. Ou plutôt sauta sur le mur. En plus d’être un bandit, il n’était pas humain pensa la jeune fille. Il ce retourna et tendit la main a Tally. Celle-ci la regarda avec un air de je ne rentrerais pas dans ton jeu. Katsuki avait surement dut le remarquer car il ajouta :

"Tu viens, je t'expliquerais après..."

La jeune fille regarda derrière elle. De toute manière elle n’avait pas vraiment le choix puisque les gens pensaient surement qu’elle devait être dans le coup qu’avait fait Katsuki.
Elle regarda son chat puis le mur et dit un petit hop discret. Puis le chat sauta sur le mur. Tally put prendre la main que lui tendait Katsuki pour ce hissé sur le haut du mur.

*Dans quoi je suis en train de m’embraquer…*

Le chat bondit sur le mur, puis sauta au sol. Katsuki attrapa la main de la jeune fille, l'aida à se hisser sur le mur avant de la reposer au sol.
Il descendit lui aussi du mur et observa la ruelle dans laquelle il se trouvait. De grands lampadaires de chaque côté de la rue, des petites maisons, plus d'une dizaine se trouvait face à lui. Derrière lui s'étendait le long mur d'enceinte du zoo.
Mais, si l'étude de l'environnement l'intéressait, l'étude des humains était de long plus passionnante à ses yeux.

"Oh, désolé, tu ne t'est pas fais mal j'espère"
Demanda Katsuki en suivant les instructions qu'il avait appris par cœur dans un livre.

"Suis-je bête, j'ai oublié de me présenter, je m'appelle Katsuki Kaze, et toi?"
Se présenter est essentiel pour permettre des discussions construites entre deux individus, et la foule, ainsi que la vitesse à laquelle le ton était monté dans la discussion qui l'opposait à cet jeune fille, l'avait empêche de faire amplement connaissance. Une erreur qu'il comptais bien rectifier.

"Oh, désolé, tu ne t’es pas fais mal j'espère"

Tally fut surprise de cette question vu le petit accrochage qu’il c’était passer à peine quelque minutes avant. Tally ne l’imaginai pas en une personne qui se préoccupe des autres mais resta tout de même polie et bafouilla une réponse brève mais affirmative. Mise a part une petite égratignure Tally n’avait rien par miracle puisque la jeune fille était miss catastrophe. Mais elle ne voulait pas inquiéter son interlocuteur pour une minable égratignure.

"Suis-je bête, j'ai oublié de me présenter, je m'appelle Katsuki Kaze, et toi?"

Alors la c’était carrément super louche car il avait déjà fait connaissance pendant leurs joute verbale. Katsuki avait-il des problèmes de mémoires. Si c’était le cas il fallait vite faire quelque chose pour lui. Mais Tally ne voulu pas paraitre impolie et ce présenta a son tour… pour la deuxième fois. Mais elle ne voulu pas rester trop longtemps sur ce petit détail et voulu absolument savoir dans quoi elle s’était embarquer mais comment poser la question sans paraitre trop directe. La jeune fille ce pris la tête quelques minutes et décida finalement d’opter pour la sincérité.

-De quoi nous accuse t-on ?

Tally pouvait paraitre vraiment directe et peut-être même manquer de tact mais le meilleur moyen d’avoir une réponse clair c’était de poser une question claire.

La jeune fille lui répondit son nom, ce qui éveilla une petite voix dans la tête de Katsuki:
*Ce nom tu le connais, tu deviens fou*
Une voix que Katsuki essaya de faire taire, sans succès:
*Tu es fou, fou, fou...*
La voix s'amplifia, jusqu'à prendre des dimensions considérables, Katsuki avait l'impression de devenir vraiment fou, de ne plus être lui, de ne plus appartenir à lui-même, de se dissocier de la réalité...

"De quoi nous accuse t-on ?"

La voix de Tally tira Katsuki de sa lente descente aux enfers dans les profondeurs abyssales de la folie. Si elle savait à quel point il lui en était redevable...
Sans elle, il serait déjà en train de se demander pourquoi la terre est ronde et pas plate, pourquoi le monde est si méchant et pourquoi il se posait des questions aussi stupide vu que c'était inutile, et, à moins d'être complètement schizophrène, ce qu'il avait peur de devenir, il n'avait aucune raison de se les poser...
Dans un éclair de lucidité, Katsuki compris qu'il lui fallait répondre, et il compris aussi qu'il lui fallait resté concentré sur le présent et pas sur ses éventuelles troubles psychologiques...

"De beaucoup de choses, trouble de l'ordre public pour commencer, coups et blessures, délit de fuite, Ils trouvent toujours quelque chose...
Et en plus, on risque d'être considérés comme des boucs émissaires et accusés de pas mal de maux...
De toute façon, on avait une discussion en cours, avant d'être dérangés par la stupidité de nos semblables, on en était où?"

"De beaucoup de choses, trouble de l'ordre public pour commencer, coups et blessures, délit de fuite, Ils trouvent toujours quelque chose...
Et en plus, on risque d'être considérés comme des boucs émissaires et accusés de pas mal de maux...
De toute façon, on avait une discussion en cours, avant d'être dérangés par la stupidité de nos semblables, on en était où?"

Tally avait un peu peur de Katsuki. Ou plus précisément de son pessimisme. On aurait dis que si l’on retrouvait les deux jeunes gens on les enfermerait a vie et Tally ne pensait pas qu’il y ais autant d’accusations contre eux. Et puis la jeune fille ce posait une question. Pourquoi ils n’allaient pas expliquer gentiment au policier ce qu’il c’était passer. Mais Tally ne pensait pas que même en discutant elle pourrait tirer quoi que ce soit de ce garçon flippé et mal dans sa peau. Mais une petite voix dans la tête de la jeune fille lui disait de tenter sa chance car après tout on ne savait jamais. Il serait possible que Katsuki veuille entendre raison. Et en plus si le lycée l’apprenait ce serait la catastrophe. Tally venait juste de penser au lycée. Ils ne pouvaient pas fuir ainsi Tally avait un besoin vitale d’aller a l’école pour pouvoir entrer en école vétérinaire. Les animaux c’était toute sa vie.

-Oublie notre discussion trente seconde veut-tu pourquoi n’allons-nous pas leur expliquer que nous ne faisions rien de mal ?

Tally ne voulait pas avoir de problème avec le lycée. Il était donc impératif de faire entendre raison à Katsuki. S’il ne voulait pas he bien Tally irait seule au commissariat pour leur expliquer.

"Oublie notre discussion trente seconde veut-tu? Pourquoi n’allons-nous pas leur expliquer que nous ne faisions rien de mal ?"

Katsuki resta interloqué par la réponse de Tally. Rien fais de mal... Après tout, elle avait raison, ce n'était pas comme si il avait déboité l'épaule, d'un homme avant de l'assommer pour mettre un terme à ses hurlements... Quand Katsuki se rendit compte qu'il venait de faire un remarque, même dans sa tête, à caractère ironique, il se dit qu'il était temps de se reprendre en main... Pas question de faire de l'humour, et puis quoi encore? à ce rythme là, il finirait par ne plus filtrer son eau et regarder derrière lui toute les cinq secondes pour vérifier que personne ne le suivait...
L'optimisme et la naïveté de Tally aurait peut-être pu convaincre quelqu'un d'à peu près normal, mais Katsuki était tous sauf normal. De toute façon, ils les chercheraient dans le zoo puis dans le quartier, ils ne pouvaient pas rester là, il fallait partir. Le campus était trop loin, y aller à pied n'était pas une possibilité. Les diverses témoins faciliterait grandement le travail de la police, l'utilisation de transports en commun devenait dangereuse. Il fallait se planquer quelque part pendant quelques heures, en attendant que tout se calme.

"Non, ce n'est pas une option, ça relève juste du suicide. Il faut rentrer au campus, en évitant tout contact avec la foule. Mieux vaut se planquer pendant une heure ou deux, ensuite, on prendra le train, qui part à l'opposé du campus, avant de revenir en bus pour brouiller les pistes."

"Non, ce n'est pas une option, ça relève juste du suicide. Il faut rentrer au campus, en évitant tout contact avec la foule. Mieux vaut se planquer pendant une heure ou deux, ensuite, on prendra le train, qui part à l'opposé du campus, avant de revenir en bus pour brouiller les pistes."

Tally commençait sérieusement à avoir peur de Katsuki. Comment pouvait-il être aussi calme après avoir dis ce genre de chose… En plus la jeune fille n’était pas comme lui, si elle avait fait quelque chose de mal elle assumerait mais comme ce n’était pas le cas il n’y a rien à assumer alors pourquoi ce cacher… De toute évidence Katsuki ne la suivrait pas il valait donc mieux qu’elle parte seule. Puis une question vint à l’esprit de la jeune fille.

*Pourquoi c’est-il encombrer de ma personne ? *

Tally qui avait une grande imagination se fit un certain nombre de scenario catastrophe. Il fallait vraiment qu’elle parte, elle devait rentrer au campus elle avait plein de devoir et pantoufle commençait à avoir faim. De plus cette personne commençait a sérieusement lui taper sur le système. Il avait gâché sa sortie au zoo. Rien que pour sa elle ne pouvait pas le suivre. Alors que Katsuki s’orientait vers la foret pour « éviter la foule », la jeune fille emprunta le chemin le plus court pour retourner au cœur de la foule. La jeune fille n’aimait pas particulièrement quand il y avait du monde mais aujourd’hui était spécial, elle avait besoin de sentir les gens autour d’elle.
Tally s’arrêta et regarda derrière elle. Elle ne vit rien et poussa un soupir de soulagement. Elle était enfin débarrasser de cette encombrante personne. La jeune fille n’en revenait pas qu’il existe des personnes comme sa. Des personnes qui fuient les endroits peuplés et la police… C’était d’ailleurs le genre de personne à commettre des crimes d’agir comme sa… Pourquoi la jeune fille n’y avait pas pensée plus tôt. Tally a eu raison de l’avoir lâché c’était bien mieux pour sa vie et celle de ce jeune homme ne la regardait pas.
La jeune fille continua donc son chemin le cœur léger avec son chat. Après tout elle avait échappé a une mort certaine il y avait de quoi être heureux.

[H-S: Logiquement on devrait changer de zone pour poster, non?]

Katsuki, persuadé que Tally le suivrait, se dirigea vers la forêt, en marchant il se félicita de la facilité avec laquelle il avait réussi à convaincre la jeune réfractaire de le suivre...
Puis, saisi d'un doute, il se retourna. Personne derrière lui, personne autour de lui, il était seul...
Katsuki poussa un juron et se précipita vers la rue adjacente au zoo, il la remonta et courut vers la grande rue. Mais, soudain, une pensée lui traversa l'esprit. Il était toujours recherché, et il ne ressemblait pas tout à fait à Monsieur Tout-le-Monde, il lui fallait trouver un moyen de cacher son visage...
Un clochard dormant sur le bas-côté lui donna la solution à cet épineux, et contraignant, problème.
Le clochard avait l'air vieux, ses vêtements étaient sales et abimées, personne ne regardait le clochard, symbole de la réalité cruelle du monde atroce qui était le sien. Katsuki s'approcha du clochard, et lui piqua son vieux bonnet tout miteux...
Malgré le décalage total entre ses vêtements et le bonnet du clochard, Katsuki s'estima suffisamment discret pour suivre sa proie...
Sa proie? Il voulait juste la contraindre à rester calme pendant un petit moment pour laisser les choses se tasser avant de retourner calmement au campus. Tout ça n'avait rien avoir avec une traque... C'était juste une filature sans arrière-pensée....
Katsuki se dirigea vers la route la plus probable, celle qui menait au centre-ville, et il vit, une dizaine de mètres devant lui, la fille qui lui avait faussé compagnie à la sortie du zoo. Il accéléra le pas et, parvenu à sa hauteur, il lui dit:

"Oh, mais qu'est-ce que tu fais, c'est pas bien de fausser compagnie au gens comme ça..."

suite au centre ville =3