Suite de l'arrivé de Satomi [hentai] [Fini]

Satomi avait était très contente de la réponse plutôt positive que négative que lui avait donner le jeune homme. Elle lui avait répondu par un tout a l'heure énergique. Elle c’était mise a courir jusque dans sa chambre. Elle pensait que plus elle arrivait vite dans sa chambre et plus le jeune homme en ferait de même. Elle ne pensa que plus tard a ses valises. Tant pis elle irait les chercher plus tard. Elle entra dans la chambre et regarda. Personne tout était parfait ne manquait plus que son inviter de marque. Elle attendrait la impatiente de le voir. Elle prit son lit puisque c'était le seul fait sa devait être le sien. Il était près de la fenêtre. Tant mieux car elle pourrait regarder les nuages. Ce qu'elle fit sur le champs pour que le temps lui semble moins long. Mais cela lui sembla durée une éternité quand enfin elle entendit qu'on frappa a la porte. Elle ce précipita pour aller ouvrir en espérant que ce soit bien son compagnon.

Mais en 5 minutes Akiya avait eu tout le temps qu'il lui fallait pour reprendre contenance, et était bien décidé à maîtriser la situation. Il s'était trop laissé gouverner par ses sentiments. Déjà, des deux, le mec c'était lui, et c'était la première chose qu'il allait lui faire sentir. Ensuite, il avait 16 ans, pas 12, alors il était plus que temps d'arrêter de tergiverser... et de passer pour un novice, même si au fond, il se fichait pas mal de l'expérience qu'il avait ou non. Il passa la porte, entra, et la referma aussi sec derrière lui. Il se tenait droit, et la fixait de ses yeux sombres. Il était redevenu le Fukurou Akiya habituel, et cela le rassurait. Garder ce masque de dureté était pour lui la meilleure façon de venir à bout de n'importe quel problème. Et il ne laisserait pas cette fille mener la partie.

Il la regardait avec intensité, et sourit, fait rare chez lui, bien qu'il s'agît d'un sourire malicieux et sans joie. Lentement, il défit la cravate noire nouée autour de son cou, très lentement, presque langoureusement, et la laissa tomber au sol. Il savait très bien jouer la comédie et masquer son malaise. Le tout était de ne jamais se laisser surprendre par quoique ce soit, et c'était du gâteau.

Elle n'eut pas le temps d'ouvrir que le jeune homme était déjà entrer avec la porte ferme. La jeune fille ne trouva rien a dire ni a faire. Elle était surprise. C'était un beau revirement de situation auquel elle assistait la. Il enleva sa cravate d'un air résolu comme si il voulait que ce soit lui qui mène le jeu. Soit Satomi ce laisserait faire. Elle repris ses esprit et alla fermer la porte a clé. On ne sait jamais. Elle ce retrouva derrière Fukurou qu'elle prit dans ses bras. Elle passa ses mains sous la chemise du jeune homme pour lui caresser le torse. Elle avait bien plus de sensation a caresser sa peau nu que sa chemise. Elle recommença a nouveau a entrer dans sa bulle de plaisir qu'elle aimait tant. Sa respiration ce faisait de plus en plus saccadé.

Toujours aussi lent à la détente, Akiya réalisa tout d'un coup un détail pourtant évident mais qui jusqu'ici lui avait échappé. Il s'en rendit compte alors qu'il fondait littéralement sous les caresses de la jeune fille : il était incapable de résister aux contacts humains. Comme lorsqu'il n'avait pas été capable de rembarrer Tally l'autre jour, et tout ça parce qu'il était dramatiquement en manque de contacts physiques, de quelque nature qu'ils soient. Il réalisa aussi que, s'il y réfléchissait bien, il les recherchait depuis longtemps. Il les trouvait en se battant contre les autres, et jusqu'ici, il ne les avait connus que de cette façon, et cela lui convenait. Mais manifestement, il y en avait bien d'autres formes...

Il la laissa le toucher pendant pendant quelques instants, puis reprit les rênes et se tourna vers elle, la plaquant contre le mur et commençant à déboutonner sa chemisette, ses lèvres près son cou, laissant échapper son souffle chaud contre son épaule.

Tout a coup Fukurou plaqua la jeune fille contre le mur puis lui déboutonna sa chemise. La jeune fille fondit complétement dans les bras du jeune homme. Ce souffle dans son coup lui donna des frisson de plaisir. Elle le voulait. Il fallait qu'elle l'ait. La jeune fille mit la tête en arrière que le jeune homme puisse avoir accès à son cou. Peut-être lui laisserait-il une marque. Elle l’espérait car elle adorait la sensation que procurait un suçon. Elle commença a son tour a déboutonner la chemise de son compagnon. Elle vira la sienne car Fukurou avait fini de la déboutonner. Elle enleva aussi son tee-shirt et laissa l’étape du dégrafage de soutien-gorge a Fukurou. Cette étape est très dur a franchir pour la plupart des hommes car il ne savait jamais comment si prendre même les plus expérimentés. Cela l'amusait toujours. Mais tout d'abord elle retira sa chemise au jeune homme avant de s'attaquer a la ceinture. La ceinture est aussi une étape compliqué au Satomi galérait aussi souvent. Chacun son problème mais comme on dit après l'effort le réconfort. Elle ce posa une question. La prendrait-il contre le mur? Ou sur le lit? La réponse a sa question viendrait surement dans les secondes qui suivront.

Bien, malgré toute l'assurance qu'il avait pu réunir, c'était là que les problèmes arrivaient... Première étape : comment allait-il dégraffer ce machin le plus vite possible et en passant le moins pour un con...? Parce qu'évidemment, non content de n'avoir jamais embrassé personne, il ne s'était sûrement pas amusé à retirer des soutien-gorges à une quelconque époque de sa vie. Hmm... Mieux valait ne pas tenter le diable. De toute façon, elle savait très bien qu'il n'était pas doué pour ça. Alors armé de son petit sourire mielleux, il la regarda droit dans les yeux et lui sussura :

- Retire-le, toi.

La bouche presque collée à son cou, il hésita. La mordre oui, c'était tentant, mais plus problématique qu'autre chose sur le long terme. Il n'avait pas envie qu'il lui vienne à l'idée de s'afficher avec un suçon pendant toute une semaine. Dans l'idéal il aurait voulu que tout ça ne sorte pas de ces murs... Mais bon.

Soudain il sentit les mains de la fille, après avoir soigneusement ôté sa chemise, descendre au niveau de sa ceinture et commencer à la déboucler... D'un mouvement totalement inopiné, il se serra contre elle, brûlant de désir, d'envie de sentir son corps contre le sien. Qui qu'elle soit, d'où qu'elle vienne, il s'en fichait complètement. Il commençait juste à perdre patience et la maîtrise qu'il avait jusqu'alors sur lui-même.

A cet ordre la jeune fille ne put répondre que dans un bref soupir un oui presque inaudible. Il y avait cette option aussi. Il avait bien jouer. Il lui plaisait. Sa bouche était tellement près de son cou mais il semblait hésité. La jeune fille repoussa ses cheveux vers l’arrière et lui murmura de le faire qu'il ne ce verra pas a cause de ses long cheveux épais. Fukurou ce plaqua contre elle. Elle était brulante de désir. Elle le voulait a tout pris. Ils était tout les deux enfermé dans une bulle ou personne ne rentrera. La jeune fille réussit enfin a se débarrasser de cette ceinture encombrante et passa a son soutif qu'elle retira en a peine une seconde. Oui étape très facile pour les filles.
Elle caressa ensuite par dessus le pantalon du jeune homme la partie de son anatomie qui avait gonflé a vu d’œil. Bel engin ce dit elle. Puis elle l'embrassa a son tour dans le coup sortant petit a petit sa langue pour le lécher le long du coup.

Akiya gémit. Un bruit sourd, à peine audible et immédiatement étouffé, mais il avait gémi. Et il s'en voulu aussitôt. Il avait l'air de quoi, maintenant ? Il fronça les sourcils et ferma les yeux, essayant de maîtriser les sensations qui fusaient à travers son corps, tant par cette bouche qui lui embrassait le cou que par cette main qui était cette fois descendue un peu trop bas et l'empêchait presque de penser droit. En tout cas à présent, ce n'était plus la peine de chercher à cacher l'effet que ses avances avaient sur lui...

Mais au bout d'un court instant il sentit qu'il ne tiendrait pas longtemps comme ça. Et cette idée lui rappela également qu'elle aurait mieux fait de ne pas espérer de lui une endurance hors normes... Parce que plus ça allait et plus il se demandait s'il tiendrait au moins jusqu'au bout...

Bon, il était peut-être plus sûr pour cette fois d'aller un peu plus vite que prévu. Il la prit dans ses bras et la souleva, et n'eut qu'à se retourner pour être face au lit, sur lequel il l'allongea, avant de passer à quatre pattes au-dessus d'elle.

Sans trop suivre comment, la jeune fille ce retrouva sur son lit allongée avec Fukurou au dessus. Elle lui enleva son bouton et sa braguette pour que son petit oiseau puisse respirer. Puis pour la suite laissa faire Fukurou. C'était de son ressort car c'était lui qui menait la danse. La jeune fille ce contenta de le regarder dans les yeux. Elle y voyait une désir intense et une pupille ultra dilatée. Satomi Caressa la joue du jeune homme et l'embrassa passionnément. Il était si bon d'être proche d'un mec. C'était un sentiment très profond pour la jeune fille qui a été marquée par leur crasse dans le temps. Elle les aimait et les détestait. Mais il lui faisait tellement de bien. Et ce jeune homme qui au début semblait tétanisé c'était transformé très vite. La jeune fille l'aimait bien.

Finissant ce qu'elle avait commencé, Akiya se dégagea temporairement de son étreinte et ôta pantalon, puis sous-vêtements, laissant le tout valser en bordel sur le sol. Reportant son attention sur elle, il l'embrassa, baissant lentement sa jupe qu'elle l'aida à faire glisser, puis ce qu'il restait. Lorsque tout se retrouva pêle-mêle par-terre, il la regarda, cette fois un peu paumé. C'était encore ce qu'il y avait de plus simple à faire, mais pourtant il l'appréhendait. il s'allongea sur elle mais resta un moment immobile, hésitant, ses yeux passant de ceux de la jeune fille au mur d'en face, visiblement gêné. Décidément, sa super assurance n'était pas encore tout à fait au point...

Fukurou décida de passer aux choses sérieuse et enleva son pantalon en premier lieu puis son caleçon. Elle regarda rapidement l'étendue de son pouvoir puis mis la tête en arrière toute rouge. Vraiment pas mal pensa t-elle. Ensuite Fukurou enleva la jupe de la jeune fille puis son dernier vêtement, sa culotte. Il ce plaça. Mais quelque chose le bloqua. Pourtant tout était parfait. Elle décida donc de guider le jeune garçon et c'est d'une voix sensuelle qu'elle lui dit de ce détendre. Cette phrase pourrait paraitre nianian mais c'est l'un des éléments les plus important dans ce cas présent. La jeune fille guida l'une de ses main a l'un de ses sein. Elle balada ensuite sa main sur la dos du jeune homme et le poussa légèrement. De l'autre main elle guida ce qu'il pointait sur elle vers le bon endroit. Chose quelle faisait toujours car si l'on ne voit rien cela peut faire très mal. Elle lui murmura ensuite a l'oreille un va y envieux. Elle ne contrôlait plus sa voix. Elle ne désirait qu'une chose. Il allait y arriver elle avait foi en lui.

Cette fois Akiya se félicita intérieurement de ne pas avoir relâché sa garde, parce qu'il s'en serait fallu de peu pour que leur petit plan câlins tourne court. Non pas qu'elle l'ait particulièrement pris par surprise, mais le simple fait qu'elle le pousse aussi sensuellement à la prendre là, tout de suite l'avait passablement remué. Il ne put s'empêcher de songer d'un air désabusé qu'on voyait tout de suite qui des deux savait vraiment ce qu'il faisait.

Il se laissa conduire et s'allongea contre son corps, se glissant lentement en elle alors qu'il plongeait ses doigts dans les couvertures pour se retenir de mettre un terme à tout ça avant même d'avoir commencé. Sa tête plongée dans son cou, sans doute pour cacher l'expression d'extase qui devait se lire sur son visage rougi, il commença ses mouvements, la respiration de plus en plus saccadée, retenant de plus en plus difficilement les gémissements de plaisir qui s'échappaient de ses lèvres entrouvertes.

Enfin le jeune homme la pénétra. Elle avait attendu ce moment a tel point qu'elle s’excitait elle même de ce qui ce passerait par la suite et ainsi aucun préliminaires n'a été nécessaire. La jeune fille poussa un cri de plaisir lorsqu'elle senti le jeune homme la pénétrer. Il commença ses mouvements de va et viens qui faisait tant de bien a l’espèce humaine. Et a chaque mouvement la jeune fille laissait s’échapper un petit cri aigu de plaisir. Elle ce sentait bien comme si elle avait enfin sa drogue. Elle caressa le dos du jeune homme inconsciemment. elle était dans une sorte d’état second. Ses joues était en feu la tête en arrière a pousser des petit cri a longueur de temps qui semblait flotter au dessus d'eux pour partir vers l'infini. Elle ce demandai même si Fukurou l'entendait ou s’il était lui aussi dans sa bulle. Des gouttes de sueurs commençait a perler sur le corps des deux personnes unis. Oui elle était unis a lui, un sentiment incroyable.

Il ne sut pas combien de temps ça avait duré. Combien de temps il avait été capable de tenir, ça... vraiment aucune idée... Mais il ne se serait jamais douté que ce serait aussi difficile. Le seul moyen de stopper cette effusion de plaisir aurait été de se concentrer sur autre chose, quelque chose de... tellement désagréable qu'il aurait pu avoir l'effet contraire et lui permettre de durer plus longtemps. Mais il n'en avait pas envie. Autant que ce soit court, mais bien du début à la fin. Il sentit vaguement qu'elle lui caressait le dos, désormais totalement absorbé par ces sensations aussi nouvelles que délicieuses.

Puis d'un coup, il laissa tomber toute la résistance qu'il avait entretenue jusque là. Aussi agréable que ce soit, il n'était pas en mesure de prolonger leur étreinte plus longtemps. Surtout que, à ses yeux, cela semblait avoir duré extraordinairement longtemps. Comme si le temps avait passé différemment. Il se serra un peu plus contre elle, et étouffa un petit cri de plaisir alors qu'il venait en elle. Il rejeta la tête en arrière en sentant cette ultime vague de jouissance le traverser, et se recroquevilla peu à peu, penché au dessus de Satomi, haletant.

Doucement, il retomba sur le côté du lit, épuisé en quelques minutes à peine.

Le temps n'avait plus aucune signification. Il leur aurait fallu chronométrer pour savoir exactement combien de temps tenait Fukurou. Puis soudain elle sentie un changement chez le jeune homme. Il resserra son étreinte. Le jeune fille ce sentie prête elle aussi et dans une magnifique cacophonie de petit cri de plaisir de la part des deux personnes, Satomi eut un orgasme en même temps que Fukurou. Celui-ci épuisé s'allongea sur le côté du lit. Satomi elle, resta allongé ne pouvant bouger que son bras pour remonter la couettes. C'était le meilleur moment que les microbes du rhume choisissait pour venir attaquer nos pauvres petit corps fatigué mais remplis de plaisir. Satomi se sentait bien. Elle espérait que Fukurou aussi. Ils restèrent la allongé sous la couettes durant un laps de temps inconnue a la jeune fille.